J’ai été naturellement poussé à la rencontre de la cuisson RAKU, de l’émaillage de mes engobes, et de l’émaillage en “cloisonné”

Le RAKU, tout d’abord, m’interpelle dans ma capacité créative, dans sa dimension non totalement prédictible des résultats de la cuisson, cependant laissant une certaine latitude dans le pilotage du processus : “Mettre tel oxyde sur telle fritte devrait donner in fine tel résultat”
L’engobe, ensuite, par nature appliquée sur la terre non cuite, faisant ensuite l’objet d’une cuisson “biscuit” qui va figer une fois pour toute l’engobe, et faisant enfin l’objet d’un émaillage et d’une cuisson à 1080° révélant enfin toute la tonalité des en,gobes choisies à l’origine de l’opération,
Les émaux cloisonnés enfin, appliqués sur des objets “biscuités”, avec les différentes techniques de cloisonnement en creux ou en relief, qui ne se révèlent vraiment qu’après la cuisson finale.
Fred
